Wimbledon: se retrouver sur Netflix? Ça n’intéresse pas du tout Denis Shapovalov | JDQ
/sports/tennis

Wimbledon: se retrouver sur Netflix? Ça n’intéresse pas du tout Denis Shapovalov

Andreescu
La Canadienne Bianca Andreescu, elle, était suivie à Wimbledon par la caméra et le micro de Netflix dans le cadre de la série «Balle de bris», jeudi. Photo courtoisie


LONDRES | Denis Shapovalov souhaiterait-il devenir l’un des protagonistes de l’émission Balle de bris diffusée sur Netflix, comme l’a été son ami Félix Auger-Aliassime durant la première saison de la série inspirée de Formule 1: pilotes de leur destin?

À lire aussi: Sur Netflix, Nick Kyrgios affirme être allé dans un hôpital psychiatrique

• À lire aussi: Wimbledon: Bianca Andreescu donne chaud à ses fans

«On ne me l’a pas offert, mais je ne serais pas partant», a dit le Canadien, qui affirme préférer garder sa vie privée... «privée». 

Publicité

Dans la série documentaire intitulée Break Point en anglais, dont la diffusion a commencé en janvier, joueurs et joueuses sont suivis sur le terrain, mais aussi au restaurant, dans le vestiaire ou dans leur chambre d’hôtel. 

Certains, comme l’Australien Nick Kyrgios ou l’Espagnole Paula Badosa, s’y sont confiés de façon très intime, notamment sur leurs problèmes de santé mentale. 

Pas sa «tasse de thé»

Félix, lui, affirmait en début de saison avoir «pris du plaisir à le faire». «Ils ont été très humains dans leur approche, ils ont accepté les limites qu’on mettait dans notre intimité», avait-il dit au Journal.

Mais si Shapovalov est fan de la série, qu’il a trouvée «amusante à regarder», ainsi que de celle sur la F1, le 26e favori à Wimbledon ne se voit pas «être suivi par des caméras et des micros» partout où il va. «Ce n’est pas ma tasse de thé», a-t-il pointé. 

Au tour d’Andreescu

Au All England Club, la colorée et émotive Bianca Andreescu est à son tour suivie par les caméras de Netflix. 

Elles l’ont accompagnée à la sortie du terrain après son premier match, jeudi, ainsi que vendredi, à la suite de sa victoire in extremis contre l’Ukrainienne Anhelina Kalinina

«Honnêtement, ça ne m’embête pas du tout, a-t-elle dit, vendredi. Je crois que c’est super, ce qu’arrive à faire Netflix avec le monde du tennis, parce que l’on peut voir les joueurs être vulnérables. On peut apprendre à connaître davantage leur personnalité. C’est une belle vitrine pour notre sport.»

Rien ne garantit, toutefois, que ces extraits seront diffusés dans une éventuelle suite de la série. «Ils ont commencé à me suivre ici. J’espère donc que je ferai un long parcours!» a lancé la 50e mondiale. 

Publicité


Commentaires

Vous devez être connecté pour commenter. Se connecter

Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation.

Publicité

Publicité

La Une. La nouvelle infolettre du Journal. Matin. Midi. Soir.

Inscrivez-vous pour ne rien manquer de l’actualité
Inscrivez-vous